Croire à la réussite
Le premier conseil c’est tout simple, croyez que vous pouvez réussir et pensez succès et non pas échec. Beaucoup de gens, on se rend compte dans la vie, vous vas voir, ça va te parler ce que je vais te dire. Beaucoup de personnes pensent échec et non succès et il y a énormément de « et si » dans tout ce qu’on fait finalement.
Je veux monter ma boite, oui mais et si je n’arrive pas à payer mes salariés. Je veux faire le tour du monde, oui mais et si j’arrive plus à vivre et si je me perds et si je n’en sais rien. Il y a énormément de « et si » et on pense malgré nous parce qu’encore une fois, on était conditionné comme ça dans notre jeunesse en termes d’échec et non succès.
La première chose qui nous vient en tête quand on quand on pense à quelque chose, c’est « et si ça ne marchait pas » et pas « et si ça marchait ». Si on arrive à se conditionner, au début en se forçant mais après à force de le faire, vous allez vous habituer. Si on arrive à se conditionner vraiment autour de ce « et si et si ça marchait » et qu’on arrive à ne penser plus qu’en « et si marchait » on avance beaucoup plus facilement. C’est-à-dire que vous allez aller faire le tour du monde, et si je rencontrais ma future femme dans un dans un pays étranger ? Je vais monter ma boite, et si je rencontrais un associé et puis on fait de nouveau projet de dingue. Je vais commencer à investir dans l’immobilier, et si bah ça marchait et que j’arrivais à enchainer plusieurs biens et si, et si et si. En transformant les « et si » en positif et en pensant succès et non pas échec. Remettez-vous en question : est-ce que pensez régulièrement échec ? Et on est tous pareil, on est câblé en mode penser d’abord à l’échec. Si vous arrivez à retourner ça déjà c’est vraiment puissant.
Big goal big success
Le prochain conseil qui est très bon aussi se résume en deux mots enfin en deux fois deux mots big goal, big success, deux grands buts un grand succès. Vous allez avoir des buts qui semblent finalement beaucoup trop gros par rapport à où vous en êtes actuellement et puis vous avez de chance statistiquement d’arriver à ce succès-là ou en tout cas d’arriver peut-être pas jusqu’au bout de ce succès-là mais vous visez tellement haut, vous visez tellement gros que quoi qu’il arrive vous seraz déjà à un endroit beaucoup plus avancé que si vous aviez pensé plus petit.
Se soigner des excuses
Les excuses sont une sorte de maladie, de virus, de cancer qui vous rongent et qui vous empêchent de passer à l’action, d’aller sur des résultats massifs. Vous ne pouvez pas encore faire ça parce que parce que votre famille parce que vos enfants parce que la sécurité parce que vos parents, etc. C’est comme les nouvelles résolutions c’est les bonnes résolutions de la nouvelle année : « Je ne peux pas commencer le sport en décembre parce que je vais faire les nouvelles résolutions en janvier parce qu’il n’y a pas encore la promo à la salle de sport parce que, parce que, parce que ». Et toutes ces excuses c’est vraiment une maladie et ça vous ronge, ça vient ronger vos performances. Le but ultime est de se de s’auto, encore une fois, refuser toutes les excuses c’est-à-dire quand vous commencez et c’est humain, on le fait tous. Quand vous commencez à avoir une excuse à haute voix qui arrive, on l’oublie, on trouve un autre moyen. Là, ce n’est pas le bon endroit mais il y a toujours une solution, il y a toujours une résolution possible au problème si vous arrêtez de vous focaliser finalement sur l’excuse et que vous mettez votre cerveau en mode résolution. Donc ça c’est aussi très puissant.
L’action guérit la peur
L’action guérit la peur c’est-à-dire que passer à l’action va faire que vous allez perdre toute notion de peur et tout ce qu’on a dit avant et tout ce qui fait que vous n’avancez pas, vous ne passez pas à l’action.
C’est bon de se forcer à passer à l’action ou pas forcément de se forcer mais en tout cas d’avoir vraiment extrêmement conscience que du moment où vous passez à l’action, votre peur est partie. Cet exemple est vraiment parlant, c’est la personne qui saute en parachute. Qu’est-ce qu’il y a de rationnel dans cette activité ? C’est-à-dire qu’on va vous mettre dans un avion, vous allez monter à des milliers de mètres de haut et vous allez sauter dans le vide.
Vous allez tomber des secondes, des minutes et à la fin, au dernier moment vous allez tirer sur les ficelles, ça ouvre un carré de tissu qui va vous sauver la vie. Enfin, quel où est le rationnel là-dedans ? Et le sauteur de parachute, débutant en tout cas, a toujours cette peur c’est-à-dire que quand on ouvre la porte de l’avion et qu’on voit le vide c’est effrayant.
Rappelez-vous que votre cerveau ne fait pas trop la différence entre passé, présent, ce qui est vrai, ce qui n’est pas vrai. Là pour votre cerveau, c’est un suicide c’est-à-dire que vous allez sauter d’un d’avion. Mais à partir du moment où vous êtes en train de tomber où vous êtes dans l’action et puis au moment où le parachute s’ouvre, etc.
Vous êtes dans l’action, vous êtes même content, en train de voler avec le moniteur derrière. Finalement plus du tout de peur. Pourquoi ? Parce que vous êtes passé à l’action et cette gâchette-là suffit pour vous guérir. L’action guérit la peur et vous pouvez l’utiliser dans plein de domaines.